dans mes pensées poétiques
La pudeur des mots pour toi , pour ton corps
L’identité floue dans la réalité fuyante
Dans ce tombeau de papier aurais- je atteint ton âme ?
Je ne sais s’il y a quelqu’un pour écouter ?
Je produis l’isolement en espérant voir le résultat de mon isoloir
Si nous étions , nos baisers et caresses s’absorberaient
Comment saurions nous que le monde s’approche de nous ?
Jour après jour je construis une architecture humaine
Toutes celles
Maintenant un ensemble hautement remarquable
Les choses ne font pas d’impressions
Une indiscrétion digitale ? une traînée de parfum ?
Sa réaction , son intérêt , sa relation aux choses
Un présent infini
Comment quelqu’un qui parle veut dire quelquechose ?
Me sera t-il possible de le faire en ta présence
Moi qui ai de nuages en nuages
Mais quand sur une échelle de nuage
Ton pied sur le dernier barreau
C’est déjà l’éclaircie , bleu soleil
Mot vais temps ...
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