tisseur de poèmes

Ne pas obliger les lecteurs à se demander pourquoi
Une écriture abstraite , des mots pour eux mêmes
Gris comme l'acier et la feraille , je mène grand train
Pas celui qui rime avec matin
Mat de la marque qui disparaît avant que le souvenir ne s'efface
Elle se montre à son avant/age
Nue , immobile , soleil torride
La rondeur car les rayons symbolisent l'organe masculin
Pensées provisoires , notes fugitives
Vers ou pas mûrs , elles méritent d'être mention/nées
Passable , assez bien , bien , très bien
La petite fleur d'un pré/cédant aux caprices de la nature
Pour/suites sans épilogues
Quitter au courant qui dérive
Pas d'amnistie rien qu'une amnésie
Souvenir de presse é/vite ?
Un kit de mes mains occupées sous la lumière du soir qui rassure.
Je tiens mon journal , je la mets en page
Je ne connais pas sa langue kiss
Un ajustement de lettres alpha/bet et oméga
Une scène de ménage, un jeu thème qui se rejoue et gagne en intensité à chaque nouvelle version
Dans mon atelier poétique attèle par paire
Nous nous précipitons