tisseur de poèmes

Replie sa vitalité naturelle au creux de l'hiver
Se blottir dans un creux
Au fond de sa garçonnière
Il n'existe pas d'équivalent féminin
Les feuilles mortes sont tombées sur la malle
Comme pour la saupoudrer d'étoiles magiques
Réouverture au printemps et à partir de ce jour elle est fermée
Par enchantement
Jusqu'à octobre l'amour semblait chercher son emploi
Elle était en quête d'une raison d'être
Elle avait mais restait sur sa faim , insatisfaite
Elle entreprenait une passion charnelle guidée par le désir
Comme un gallop d'essai
Elle avait pourtant un beau visuel , des saveurs identifiables , des textures équilibrées
Remplie de sensations ,d'impressions et de sentiments
Elle aurait même pris du poids dans son bien-être
V"est" bleue nuit comme cendre
Voeux appelés mais non entendus
On l'a d"écrite "gothique faute de roman d'amour
L'aube sans ensemble kimono est venue la chercher
En t"ailleurs" pantalon noir parce qu'il se marrie avec presque tout
Sa chevelure vénitienne en chignon en attendant des cheveux marins au vent
Elle s'est enfermée sauf à vivre à travers le poète
Parce qu'elle n'est pas à la auteure