tisseur de poèmes

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émois de mai

En première ligne le temps d'exister
Ils avaient rendez-vous à la quinzième chambre
Celle d'un hôtel
Leur première rencontre se déroula dans un parc d'attractions
Une touche d'excentri/cité , ex/centrique
Leur premier baiser aussi
D'une langue non point enseignée
Il n'était pas question de savoir
Il importait que tout paraisse vrai
C'était à la mimai
Depuis ils aimaient à mimer l'événement
Ils portaient des pantalons à fuseaux
Embrasser tous les pays d'un coup d'oeil
C'est pourquoi l'on disait embrassade
Au lieu d'ambassade
Ils poussaient la chantshonnête sans fausses notes
Ils se mettaient à nu sans impudeur dans cette petite chambre
Toute simple ,la coquêterie c'était eux mêmes
Leurs vêtements psychés dans lesquels ils se regardaient en pieds
Sous leurs mains poétiques ils se transformaient en ote parfait
Pour entamer un tango lent/goût/reux sous les draps
Au premier rang à la dernière ligne
Dans un fauteuil à bascule
Celui de mai



27/10/2013
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