tisseur de poèmes

tisseur de poèmes

étrangeté jamais idantique

Comme perché sur la branche d’un arbre pour ne pas être touché
En haut d’une tige
Semble” pendsif “ , sa tête dans un tournoiement : “verstige “
Son corps immobile : vestige qui erre dans le passé
Solitude des” lastitudes”
Rhuée vers l’or “oùh ,oùh “
Il reprend goût à hauteur de ses pétales
Lèvres bronzées d’or sûrement la contagion d’un coeur doré
Pétales saisies comme un clin d’oeil , un battement d’aile
Tout en haut , il ne pouvait être que vigilant qu’ à ce qui venait du ciel
S’il ne voulait pas tombé , ni tombé des nues
Puis une fois la découverte de ce moment furtif
Comme sous l’effet “d’opiassez” qui abolit la distance avec le sujet
Un complément d’objet direct
Il ne la laisse pas prise de court pour ne pas être console de je
Un sourire à ses lèvres comme une griffe de couturier
Tout en lui laissant la liberté de recourir
Mais en ayant aussi “recours “
A prendre et à laisser pour une autre fois , y revenir
Ecouter sa suite dans toutes les parties de son corps
Regarder les flammes d’un horizon incendié
C’est parce qu’il gardent l’amour qu’ils n’ont pas l’air de vieillir
La vieillesse ,elle , est craquante avec ses is de failles
Jamais une anti...quittée
 


25/12/2015
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 7 autres membres