tisseur de poèmes

tisseur de poèmes

grand coeur ,inspiration

Tes yeux grands ouverts ,ton visage épanouie
La lumière qui ne s'éteint jamais 
Au Soleil couchant je porte le fardeau des ombres
Gardant les yeux ouverts grâce aux étoiles 
Tu es comme la déesse égyptienne qui traverse la nuit 
La Pyramide Franc Maçon avec son oeil à l'intérieur 
La nuit apporte suffisamment de noir comme pour mettre en valeur Ton visage , au centre de ta pupille qui s'ouvre 
Une femme d'ouverture tandis que je suis couverture comme porté et caché par 
Un nuage errant 
Une errance qui n'est que toi her en anglais et sa prononciation
Tout en étant un lien cohérent ,il me faut aller au delà pour voir ta face 
Cachée et faire entrer ton univers 
La nuit je ne suis que couchant dans mes rêves , mes espérances
Comme sous la lumière d'une discothèque l'ombre se balance 
Répond au souffle du vent de blues:tes deux yeux bleus 
Au comptoir ,je bois le nectar et la liqueur ,il me faut t'oublier 
La nuit n'est qu'une traversée même si l'eau est imperméable aux 
Frontières 
Tu es un jeu de géométrie et de couleur 
Or angé sûrement la conjugaison d'un ange 
Derrière les verticales des rayons ,tu es forme et pulsation
La chaleur des courbes 
Tu restes en contact avec une expression du réel ,le jour 
La nuit t'appartient, tu n'es que guide ,un halo de grâce 
Je dois porter ma croix ,pour avoir ta récompense 
Je suis accompagné de la lune qui brille comme ton visage
Mais elle n'a pas d'yeux ,de bouche , de cheveux 
Au soleil le vent qui me débarrasse de mon fardeau 
L'homme est peut -être rouge quand ses émotions sont amoureuses
En souvenir de t'avoir pris dans mes mains 
Mes lèvres sont rouges en souvenir de t'avoir donné un baiser 
Le jour, j'aime à te rouler jusqu'en haut de la montagne 
Puis tu redescends de l'autre côté 
Comme un soleil au lever au zénith puis au coucher
Aimer le soleil car il voit demain 
Te voir comme le Fuyi-Yama qui reste trop souvent caché
Car il reste un Dieu 
Mais en tant que volcan ,je suis en activité amoureuse 
Mais la lave qui s'écoule donne un paysage noir 
Toi vol can vers les cieux là où se trouve les déesses 
Cela ne sera point Hiroshima mon amour
Un Nô comme non en anglais et puis je regarde de ma fenêtre le Jardin zen
Platonique 


12/04/2018
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