tisseur de poèmes

tisseur de poèmes

ILLE

V-ille , majuscule enluminée à deux visages fourbes ,

Que l'on aimerait corriger au rouge

Minuscule bas de casse qui fait du grabuge

Que l'on aimerait claquemurer

Le centre vil où vilain ,vit l'autre 

En promiscuité :serre fils, serre fille où

Les fleurs mi-closes vivent  en vase clos 

V-ignoble fait sa ronde de nuit carma-gnôle 

Un chan-tourné  

Une nuit close dans un bar toi où circulent

Découpes en bois 

A son poste en lieu clos

Le télé acteur se télévante 

Qu'il pourra se délivrer de ses chaînes

Mais reste condamné à une peine de galère

Sur les canaux hertziens

La rue- meur s'aventure jusqu'aux faux bourgs 

A la limite du mur-mure 

Par mé-gardes franchir le portail

Quitter ce mai-pris 

Retrouver le goût de la liberté 

Même si celle-ci n'est plus que bidon ville 

Un fût ,

Ne faire que passer simple 

Se cacher des loups sous un masque 

Porter une croisette pour se protéger 

Se déguiser en plongeon  muni d'un tuba et de palmes

Comme Cannes et son canard ,il et el se regardent en miroir 

Mais ce n'est plus que du spéculaire

Le ah marque la déception d'un ctait

Pour redevenir spe-cta-culaire.

 



21/05/2011
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