tisseur de poèmes

tisseur de poèmes

je me souviens

Comme dans un film autrefois , évolue dans un décor
Sur le balcon elle se tient assise avec pour fond des maisons blanches 
La mer verte et bleue 
Un balcon ceint de vitres transparentes , j'ai peur qu'elle tombe 
Dans le vide mais heureusement le rebord d'une ligne blanche comme un Horizon 
Dans un décor idéal le prie dieu d'un rebord sur lequel j'appuie ma pensée
Un ciel bleu parfait qui aurait affiché ne pas déranger à l'intention des nuages
Je me souviens aussi de cette nuit où les toits des maisons et de l'église
Dansaient sur leurs pointes vers les étoiles sous le flambeau de la lune
De cette brise qui attisait la flamme et les rêves vagabonds
Les insomniaques cherchaient à s'accrocher à leurs wagons lit 
Je me souviens du vent qui éventait ses ailes de parfum
Un vent qui donne la suite en tournant la page 
Aux vagues qui levaient l'incertain
Moi qui n'avais rien vu venir seul le temps qui tient en suspens 
Selon mes actes transforme ,connaît la fin mais pas comment
J'avais besoin de l'entendre 
Je ne me souvenais que de sa ville Fontenay le FleurY
Là où toutes les fleurs perdent leurs boutons
Souvenirs que ma pensée avait tamisé 
T'as misé sur aujourd'hui dit la poétique 
Un jeton sur le tapis vert de la mer à cette heure



25/06/2020
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