tisseur de poèmes

tisseur de poèmes

juste se laisser aller à Noël

25 ou 52 

Comme si Noël , c'était la fin d'une année 

La dernière croishier car Il est là 

Tu tournes le dos pour te jeter à corps perdu 

Tes yeux perdus  dans le bleu qui regardent vers le large 

Lents mouvements de va-et-vient dont la répétition propulse vers l'oubli 

Ses embruns s'engouffrent dans la ruelle de ton quartier perché 

Tu surplombes ma page en essayant de deviner mon écriture 

A la recherche du fantôme , tu passes sous les ténébreuses et envoûtantes phrases 

Perlée de rosée  , tu débouches quelques bulles 

Flhutte d'un océan agité dégusté à la paille 

Sabler le champagne pour une plage horaire 

Sur ta tocante , ton heure dit vert 

Incontournable tu es 

Contournable te suis 

Pour épouser tous tes regards , tous tes mots , tous tes touchers , tous tes baisers 



24/12/2012
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