tisseur de poèmes

tisseur de poèmes

La mousson sur un théâtre indien

Tout le monde est là pourtant 

Mais ta présence  t'attend 

Je ne suis  pas absente  

Le temps que  le soleil  d'absinthe  revienne

Pour sécher mes larmes de gêne  

Bien qu'elles soient d'émotions 

Il y avait offence devant  mes invités sans armes 

A me montrer en larmes

Tu parles comme  une actrice 

Mais quand la scène  s'arrête  

C'est nous qui devenons acteurs 

Quand tu es comme tout le monde

Que sommes nous alors  ?

Des gens ordinaires  sans spectacle 

Celui qui joue , se joue 

Les  spectateurs n'aiment pas être joués  mais enjoués de ta prestance

Comme un train qui passe très vite dans la nuit  

Des éclairs comme des scènes

Mais éclairs  de chaleur  : le tonnerre d'applaudissement ce n'est qu'à la fin

Quand le rideau tombe 

C'est comme  une trombe 

Qui nous rend oxydant

Et la nuit devient en fer 



11/05/2013
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