tisseur de poèmes

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la nuit

Dans un dédale de rues , la nuit
Comment y échapper ?
Le quadrille...age des silhouettes désarticulées
Les rues sont étroites quand elles n’ont plus leurs brins de lumière
Les rues pentues mais en haut je ne vois pas plus
Sauf la nuit qui devient obsédante plus je me rapproche d’elle
La voix off du silence qui me pousse à trouver du bruit
Perçu mille fois plus que le voyant
Je ne sais plus où je vais , la nuit a tout confondu
Comme si les balais de sorcières avaient nettoyé les nuages blancs de poussière
Traverser les ponts , nouveaux territoires
Ils ont fait le pont , l’autre côté de quoi ? c’est la nuit le harpon!
Sous les ponts la Seine théâtrale
Son grand rideau est parti en haute mer
 


17/12/2015
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