tisseur de poèmes

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La vie à la population

Je ne peux être avatard , je suis déjà l'ombre de la vie 

Le garde champ-être  regarde  avec gourmandise  le soleil qui s'avance  par carré sur  cette grande étendue 

La vie est aussi furtive  que cette lumière solaire  qui ne reste jamais bien longtemps 

Le tempbour d'une baguette  magique  ?

Le pré carré d'une population 

Oyez , oyez  

Une vi-lage  qui disparaît  jusqu'à devenir une ombre

Oyez , oyez 

Là se dresse une croix, une statue 

 L'avatar d'un cierge dans la nuit 



30/05/2012
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