tisseur de poèmes

tisseur de poèmes

Lenie

Ce que j'ai vu et ce que j'ai entendu 
Mots métamorphosés
Par ma volonté magique j'ai arrête le temps 
Donné vie d'un souffle de vent , d'une gorgée d'eau
Plonger les mots dans l'encre noire 
Plus beau en sera le chant poétique
Ombre portée comme une jeune mariée 
Sur le seuil d'une page ouverte pour assortir la robe blanche à la lumière
Au loin ,on disait qu'elle était dans la nuit
Parce que le jour s'achève bientôt ...se précipite.
Presse le pas derrière elle ,écriture en caractère gras
Je ne pouvais plus dormir :mes rêves font du tapage nocturne
Le sommeil interroge la mémoire 
Je t'écrivais sur les murs qui perdaient leurs galons d'écriture
Je voulais aller jusqu'au bout 
Mais la fin de ce mot où t'es ? D'où est sans ...
Le vent de tes cheveux a dégagé le ciel et toi sur l'écume cheval blanc
J'ai entendu ton écho sur le chemin de montagne
Mon ouïe l' a percé  de regards pour te voir sous mes pas
Tu étais assise dans le bus roulant sur la file 
Reflet sur la vitre qui accompagne jusqu'au loin
Viens à moi quand je pars ,je suis dans mes pensées
Irréalité à être encore là
Et toi tu seras le comble de mes dé/pensées.




23/01/2020
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