tisseur de poèmes

tisseur de poèmes

let my young woman go

L'enfance et ses rêves  l'accompagnent

Sublimés à une époque sans guerres

Elle égrène une comptine 

Pour les jours de trêves

Celle d'un amour sans fils

Pour qu'ils ne partent pas au combat

Ancrée dans une tragédie

Elle lâcherait volontiers ses amarres

Qulque part dans un ailleurs

Pourvue qu'elle soit libre et en paix

Au fond d'elle se cache une liberté

Farocuche, celle d'un animal sauvage

Une manière de survivre

Mais c'est manquer depudeur 

Que de dire qu'on est dans le malheur

Rester en réserve du visible

Mais comment le monde saura-t-il ?

Lui qui abesoin de lieux communs 

De mal être pour se reconnaître 

Une communauté de souffrances

Mais vivre dans laguerre n'a pas d'homonymes !

Dans sa prison de poésie 

Elle voudrait le poète assassiné

Ne plus séduire, attirer l'attention

Sa pensée se déclenche dans la perte 

Elle réunit tant de solitudes éparpillées

Elle est dans l'urgence

Une vitesse porteuse

La journée du "patrie-moine"

Les jeunes hommes regardent la patrie 

Comme une seconde mère

Elle , cloîtrée dans une pensée,

Se verrait mère que de filles

L'idéal d'un monde sans violence

La guerre reprend sans mères si

Lachute des anges : ailes d'un hélicoptère

La Walhallah des guerriers

Ce qu'ils en font des enfants



20/10/2015
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