tisseur de poèmes

Sa lumière me repousse plus loin , la nuit
Marquer sa frontière au- delà de la lumière
Je me retrouve amont
Alors que de jour je ne suis qu'aval
Mon arrivée est finie
Elle est proche comme la mort
Je quitte le monde
Oubliant la conséquente gravité
Pour me retrouver en apesanteur
Ses yeux , un ensemble de voiles qui l'attachent au mât
Elle ne peut partir sans se perdre ,éphar/ée
Le phare de mes pierres noires , celles de mon écriture anachronique
De jour je l'embrasse jusqu'à concurrence de la nuit
Il n'y a que la nuit qui dévoile , qui fait toute la lumière
Coast to coast , phare de seins
Coastard , blaphare ,ne -pour point -nuephare