tisseur de poèmes

Chacun dans sa lecture Elle me lit J'ai lu qu'elle m'a lu Ou entrain de la lire 
la risée de ses cils sur mes lettres Au rayon littérature , la lectrice d'occasion
Un é-prix modique Acci/dentelles ,frôler sa robe de dentelles couleur havane
S'échappent des volutes , des ronds comme des îles en plein air
Comme en pleine mer
Je quitte le palpable pour transcender l'art libre et ailé de la divine/ation
Elle fait peut-être partie de mes rêves oubliés
Ceux que je veux garder dans mon inconscient
Il faut entrer dans mon coma pour la voirPour la postérité je construis son image
Mais qui est-elle ? sera t-elle ?Ou pour la poste héritée , j'écris lettre d'une inconnue ?Joueur d'échecs et mat face à l'éclatante joueuse de succès
Elle allume le marchand d'allumettes : flamme Marion
Adepte des produits bios , je l'écris bio/graphieElle est encore si présente
Que je ne peux m'en 'passé'Voudrais n'en avoir jamais terminé
Faire attendre pour que mon rêve oublié vaille la peine
Couler quelques larmes qui me ramène à sa réalité
Capri c'est finiVoilà Capri/cieuseLa femme du ciel
Mais qui n'oublie pas la terre On la fête à la Sainte Fleur
Et les fleurs au printemps c'est un pléonasme !Elle interrompt son attitude rêveuse , dormeuse Parce qu'elle a pensé oublier Puis elle se rendort rappeler
Je n'ai en commun que ses ressemblances , ses différencesLe reste est mystérieux , inaccessible Elle est née un jour où personne n'est né Il y a bien un jour sans naissance ?Ses photos en noir et blanc, sépia lui allaient si bien
Bien étonnant avec un tel prénom Mais la couleur est dans la tête
Elle varie selon les humeurs Elle est digne d'un grand inté/retsComme laisser 'filet' sinon elle se fait boudeuse
Marion , Avril d'un récit fictif Femmes inconnues de ma vie Mais si une se reconnaît Alors une fleur va ouvrir un printemps Sur la branche masculine, alors une bonne raison de se promener balladeur