tisseur de poèmes

tisseur de poèmes

pourquoi vouloir encore de l'inédit maintenant que tout est dit

Le ciel et la mer au même niveau

La ville   est engloutie 

Dans le bleu turquoise  des plongeurs , des poissons

Perdre son toit 

Deck/ombres : deck pour sur le pont 

Un moi émergens , la tête au dessus de l'eau

Prendre une bouffée d'oxidée 

Un monde sous marin 

Pendant que quelque uns vivent dans l'espace

Une ville flottante

La brume du glacier  se lève 

Son âme s'en retourne 

Son  corps  de colosse a fondu  , a maigri

S'effrite en craquements répétés 

Sinistre clameur d'une banquise 

Sur le banquai le petit bateau  observe

Les glaçons à la dérive 

La montagne dégouline comme une glace 

Sous le réchauffement climatique

Dans l'eau émeraude  des îlots de roches  noires 

La nature se veut élégante 

Harmonise les couleurs

Bleds de western

Ville fantôme 

Mille et une nuits 

Mais 20 mille lieux sous les mers

Le Grand Posséidon et son strident 

Une sirène Voilà ce que nous sommes

On ne souffre plus le doute

Le monde ressemble  à ce qu'il devait être

Prudence , précaution , alerte 

Mais il ne pouvait s'empêcher de voir jusqu'où nous pourrions aller

Imaginer le scénario catastrophe

Et l'homme regarde la course du rhum  ,les courses de voile

Il ne sait pas encore qu'il n'aura plus que ce moyen 

Envoyer dans l'espace des fusées  à quoi cela sert ?

Comme si l'homme prévoyait déjà ce qu'il adviendrait si

 


14/11/2014
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