tisseur de poèmes

Le vacarme des rivières emportent les peines
Nos nuances ,nos émotions -elles ne sont pas que fantaisies précieuses
A ces êtres d'intérieur qui cultivent le secret ,le silence
D'un retour à l' origine ,un Paternel 
Attendent l'étincelle d'une bonne raison pour allumer la mèche
Mais que nous puissions échapper une mauvaise pensée
La morale l'obligerait à se retourner pour retrouver sa bonne conscience
Etre au monde de l'enfance d'une religion qui n'existe que dans l'imaginaire
Sans raccord avec celui d'aujourd'hui 
Un idéal identitaire
Oui les prophètes avaient annoncé un changement :
Que l'on n' adorerait plus des dieux 
Aujourd'hui il faut apprendre à faire confiance aux autres
A ce qui vient d'ailleurs
Il n'y a pas de parole unique 
Ce n'est pas parce que l'on s'identifie à quelqu'un que c'est connaître
La relation est une continuité pas un savoir
La voix seule sur des reconstitutions
Une puissance de manifestation 
La cacophonie des balles , plus de tête pensante 
Une religion est une foi fort louable ,une croyance personnelle
On lui donne crédit ,on instaure le doute un oui mais si vous vous trompiez
Un monde où tout peut être vrai 
Ce à quoi on croit est plus fort que la réalité ,
Taleyrand déjà le soulignait
Et nos impressions qui deviennent vrai sans avoir à demander la vérité 
Aux personnes concernées ,
Nos élans sont en équilibres
Que ne puis je lire dans les pensées 
Attendre le message éclair d'un chien d'aveugle qui dessille
Harceler sur un champ de vision rétréci 
Mettre un mauvais rêve en scène
Et le donner en spectacle 
Pourquoi n'as tu rien dit ?
Pourquoi n'as tu pas posé la question ?
Sur le seuil ,seul dans la maison , le I dehors
Il prend l'air mais pourtant celui ci t'échappe 
Il attend d'être mais cela ne vient pas
Les paupières bandent les yeux 
Au bord du vide
Qu'est qu'être noir ,l'heure de la nuit ?
Dans le phare d'une lampe de chevet allumé pour ne plus avoir peur ...