tisseur de poèmes

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quand la montagne raconte la mer

Vous êtes toujours par terre:quiconque s'abaissera sera élevé mais votre frégate ne vaut pas mon aigle royal. Quand nous faisons une partie de quilles ,votre bhoule renverse la quille en l'air. Vous avez peur de moi et prenez le large.De votre panier de crabes sort l'un-portune :le co-bras de mer. J'aimerais bien me jeter par-dessus de bord et faire quelques longueurs avec vous. Avec le mousseux de vos vagues ,nous sablerions le champagne et mangerions quelques fruits de mer(j'ai un bon coup de fourchette et vous un couteau) et comme dessert un cône de glace(la mer et le sucré se marient bien ensemble).Quand la mer a-rive, elle gam-berge mais il lui arrive de se marée.De ma hauteur ,votre haute mer n'est qu'une souris mais elle n'en fait pas une montagne.



04/08/2010
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