tisseur de poèmes

tisseur de poèmes

sur le cou

toujours précédé d'un puis je ?
Tant de volupté et de douceur
cet orangé pour calmer la rougeur
une lumière tamisée comme pour ne pas éteindre le bleu
Pas de lumière cru d'une envie folle à manger
comme le cru et le cuit
l'auréole d'une terre
pour passer par un rituel
il agenouille sa bouche sur son cou
ses yeux à elle fermés comme dans une extase
la permission d'un baiser
Toujours apaiser les brûlures de l'amour


20/02/2020
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