tisseur de poèmes

Après un séjour à la montagne puis à la mer ,pourquoi ne pas rouler sa bosse dans le c-hameau.Par monts et par vaux ,se rendre au pays du calem-bourg .Mettre pied à terre dans un lieu-dit à dix lieues à la ronde.Aller à l'écurie prendre un cheval pour une ba-lad jusqu'au promontoire pour admirer le point de vue de son piéde-stalle.Galoper dans le beaupré ,près des mas.Faire un entrelac et s'ébaudir dans ses oh oh à condition qu'il ne soit pas en panne seiche.Passer la nuit dans un r-etable et être accueilli par le groom de l'hôtel.Sous le regard ébaubi du mètre d'école , compter les pieds, les pouces tout en ayant la main verte.Observer cette jeune pousse romaine la cen-turion.Visiter la ferme pilote de ligne pour ses poissons pilotes d'eau chaude et ses fl-étangs d'eau froide dans la douce tiédeur bucolique.Aller à pied de chèvre , de poule ,de veau et d'oiseau tout en faisant attention de ne pas se faire une en-torse pour un buste en piédouche.Ramasser sous les arbres fruitiers la macedouane de fruits et se coller dans le fusil les petits et gros calibres.Etre à labour mais qui seime commet un sabot-age.Enfin trouver un filet qui maille pour pêcher.Quel est le pécheur qui n'aime pas la bonne chair appâter.Simple pêchette à sa folle allier .Les mailles sont aussi champ-levées.Faute de seine le pêcheur rural pêche à la traîne :il est vannet.Sous le sabot d'un cheval ,il trouve sa sole ,un vrai coup du thonaire!.Pourquoi rendre son t-ablier .A vous de choisir entre un homme f-rustre ou cultivé.