un matin tôt
d'une étoile qui a défilé sa parade déshabillée d'une promeneuse de lune avec la promesse d'un croissant cueilli dans la plaine lune et une rosée pour fleur ,petit déjeuner après une nuit mangée de baisers et de caresses car trop faim d'elle,trop soif de ses lèvres dans lesquelles se cherche l'eau d'une traversée de dessert sablé dans un feuilleté puits d'amour aux milles feuilles mille et une nuits.Un portrait nomade d'un amour transhumance sur son vertcorps montagneux de ses desseins à croquer,suspendu au fil de son sourire accroche choeur d'une sérénade .Matin bonheur d'une nuit d'amour qui s'habille d'une aube toujours virginale .de beau matin après la belle étoile ,poussière d'étoile pour un ballet ,petit rat qui s'étire comme un pachat ,pour un entrechas aiguille du r-éveil zen .La mer se retire après la montée des oh de sa nuit tauride sous un regard pamplune ,marée contrebasse après une nuit au violoncelle ,l'art-chet d'une musique de chambre.Une nuit al-caline qui joue pile et face d'une pièce juke box .Ma-teint d'une femme radieuse maquillée de phare pour garder sa nuit comme un suçon.Le noir qui vous in-forme et ses cris de plaisir découverte comme jeu de cache cache ,à la découverte des replis carte en main .Fer l'amour pour repasser chacun de ses plis .Quand vient le jour défaire l'amour ,les valises de ses yeux pleins d'ébats mais dans l'ar-moire se reflète toujours les draps d'une prochaine nuit ,un dé-lit passionnel .Un corps chaud qui défroisse un drap .Lit ses pages roses qui s' égrainent comme des empreintes sur un sol en r-ut majeur.Nuit trop courte et dénouer l'ourlet pour allonger la mini jupe en robe de ses bras accolades.Un texte à virgule sans point .Toute une nuit pour elle car le jour voit et croise trop de pas et visages qui ne sont pas les siens ,que de l' extime et pour elle de intime.De tous ses recoins cachés son corps noir d'à découvrir devient blanc pur , immaculé.Seul son âme a ses jardins secrets dans lesquels ses pommes d'amour restent des a-dent à croquer ,nous sommes que des goldens boys .
