tisseur de poèmes

tisseur de poèmes

une nuit chez sa petite amie

Une pâle cendre couchée au niveau du plancher
Ce rayon de lune qui éclaire le mat/elà
Plancher :mettre ses rêves au travail
Le matelas une embarcation
Chaussures au bord comme accompagner le long de la rive
Au lever, baignée par la lumière du soleil qui se lève
Entendre la lu/eur qui entre comme une prière par la fenêtre
C'est l'orient , soleil qui suit son texte de ses rayons 
La nuit jalouse ,pâle de chagrin , a laissé ses perles de rosées
Matelas du matin comme un canot de sauvetage 
Récupérée de la nuit
Saouliers au lever après une nuit d'ivresse
Le vent du matin portait son odeur prin/tanière
Emprunt d'une fleur pour éclore ses yeux 
Son corps féminin dévêtu ,couché à côté de lui ,éclairée par le soleil
Apparue plus matériel que le soir précédent,à la lueur de la lampe
Qui avait détaché ce qu'il y avait d'étranger dans le corps de la jeune 
Femme et sa plaine entre deux horizons ,les vallées et la forêt .
Pour se relever ,à plat ventre sur le plancher ,il fait une brasse
Après avoir l'avoir embrassée.
La lumière en plein visage avait donné de la lumière à ses 
Pupilles noires ,une ligne avait limité une tâche lumineuse 
Un de/voir
Un trait de visage qui devrait être inoubliable parce que surligné
Il allait l'oubliée et devoir la reconquérir pour se souvenir 
Parce qu'il avait pris au mot tirer un trait et vaquer à son activité
Un mot dérobe l'idée qu'il exprime ,il faut alors l'enrober D'imagination ,à ses moments perdus alors
En Fin de journée alllongé sur un banc
A/banc /donné ,une ombre pro/jetée
Comme elle le soir dans la chambre de fortune
Une chambre sans lit ,sans couverture ,mais des pages tournantes
Comme un tourniquet .


17/07/2018
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