A vau l'eau
A la fin de l'hiver
Empreintes flocons de mots sous ses pas d'yeux
Au pique de sa gloire ,O éclaté
Derrière le silence pesant a coulé à pic
Les failles d'ondes sur la Seine
La larme d'un chagrin dont je ne connais point la cause
Une secousse corporelle
Ces ondes qui nagent vers la berge
Toi la fleur éconduite dans ce fleuve
Le flacon de son parfum comme neige au soleil
Se répand dans l'atmosphère
Et le poète dans ce cheminement sans bruit
Insignifiant ,en produit une image
Une réorganisation mentale
Qui mérite mieux qu'un plouf
Fleuri
Hier en haut de l'arc de triomphe
Un neurone avec ses dendrites d'artères
Dans son logement de mémoire
Le poète a fait un tour souvenir
Temps suspendu haut et cours
Le balancement d'une crémaillère
Un témoignage , homme âge
Multipliés à chaque ligne
Le froncement de sa robe à elle
Caresse ses lèvres de Crystal ,voix posée sur un instrumental
Se met en marche
Dans cette poésie roulent des yeux
De vermeil à Lisieux (vers, lire)
Distance oculaire d'un monde intérieur
Jusqu'au flou artistique
Sa poésie ne fait plus qu'un
Vernoeil
Il joue avec les mots
Comme un mouchoir tombé
Le lecteur ramasse , fait le tour de ses relations ,transmet
A qui poursuivre jusqu'à la sortie du flou
Redonner son visage ,pour qui était cette fleur à vau l'eau
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