tisseur de poèmes

Partir à cheval sur le dos d'un nuage vers le ciel 
Cette île de skye
Aller vers un quelque chose qui me rend quelqu'un
D'un courant d'air qui apporte cette luminosité
A la recherche d'une rosace pour ne pas arriver les mains vides
Sur la rive la corde bien tendue enroulée sur la bitte d'amarrage
Le frette de sa ligne de flottaison
Ou les marques sur le mur d'un enfant qui a grandi
Ce bateau qui en Maine et Loire 
Et le splash qui éclabousse la coque , tâche de rousseur d'écume
Et de la crique comme la prononciation de Creak 
Grincement d'une porte de nulle part ,
Qui rompt le silence absolu tel le gong de l'horloge ou le craquement du parquet
pendant la nuit
Son éclat m'éclabousse de SPLendeur
Elle apparait comme dans un rectangle à gratter comme pour voir si on a gagné 
Au moment où je jouais mes notes portées sur un palanquin de cordes
Cette mer veille comme le petit point qui flotte
Et ma parole l'appât d'une phrase 
Je ne sais si je regarde d'en dessous ,ou au-dessus ,le reflet d'une flaque 
Laissée par la mer montante 
Je recouvre de mots pour ne pas laisser le nu d'un sans écriture
Un lhabitrinthe de vêtements
Elle a une odeur qui rend l'individu secondaire
Faut -il toujours une raison , un prétexte ,jurer une prochaine fois
Une pensée qui n'a de compte à rendre
Elle va et vient ,s'arrête
Sans que je sache pourquoi et pourtant éclaire une lucidité 
Se retrouver PERESONNAGE au milieu de féminins 
La mer et elle