ardeur ou le printemps du poète
Ciel azur , soleil
Partir sans prévenir Que seront les lendemains ? La force d'un jour Déculpe ses audaces La vigueur d'une sève D'un matin précoce Une activité intense pour ne pas manquer de temps Le pli de la nuit précédant m'y avait préparé Un pli comme un vêtement bien repassé Une énergie qui n'a pas besoin de voiles Son propre moteur Ferai même du zèle pris dans l'élan Avec empressement moi qui rechignais Au moindre nuage , à la moindre goutte Un dévouement de première ligne Moi qui ne signais qu'en dernière ligne Exalté comme par une lumière divine Le feu d'une flamme qui se consomme Véaimant d'un désir Si optimiste le courage de savoir Si je ne revenais pas Que même à la fin de ma vie Il existera une écriture sur une stèle mortuaire Si tu la vois Dis lui que par une vitalité pareille Je ne pouvais rester "alité " Je suis parti sans coeur Mais mon impétuosité est en train Elle peut la rattraper |
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