banc privé , abancdonne
rassis sur un banc ,le chant d'une pierre ,la roulade d'un canon
bien établi sur ce pont supé-rieur , ce gaillard d'avant sous l'habillage d'une bouteille ,le vieillissement d'un bouquet qui n'a plus que l'esprit de vin ,remémorait ses copeaux de souvenirs
il risquait de s'amenuiser sans un apport de l'extérieur ,c'est pourquoi derrière sa verrière ,sa fenêtre à châssis dormant , défilaient ses impressions recto verso
dénuée de tout fondement ,il avait la constance d'un empire sur soie ,d' importe à exporte à la chine
une main courante qui sert une bonne poignée de porte
sur les remous d'une peineniche ,réduit obscur d'une pensée,l'hiver n'avait pas de prise sur son teint allumé
il fait le tacet dans un morceau choisi tenu en laisse dans une chanson de geste
esprit de sel dans une mer agitée comme un bain de fhoule agite les feuilles écachées
sur son lit de justice pour esters , l'éther par contumace fait office de faïence ébréchée d'un tes moins que rien
esprit de bois d'une éphâve dans une turbulence se dissipe dans le noir éburnéen
l'esprit frappeur de vin blanc d'un vin rouge chambré qui convaincu met de l'eau dans son vin
le réel vient frapper au carreau
sous le cor d'une diane sonne le réveil de mauvaise grâce ,ainsi s'achève le songe enchanteur d'un coup de grâce
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