Bon repas
Do , Ré juillet et août
Mi septembre ,
Carte posthâle
L'automne , un brun dramatique
La palette de la saison emprunte les pelages des fauves
Dans sa peau d'or aux taches noires , guépard dans les nuits plus longues
Mettre un pied dans la lumière , sauver quelques jours
Un regard cuivre astiqué avec à la clef des oeillades félines comme une invite
Au fard mate de l'homme , ses touches brillantes qui allument
Sa base de maquillage patinée d'un vert menthe glacé ou bleu givré
Fard vieil or , bronze d'un coeur qui bat
Une porte qui s'ouvre
Image" personnel "de maison
Aristocrachic
Pour un tea shirt à son effigie
Enfermé à l'intérieur comme dans un coffre à bijoux
Dans son rouge au fini translucide
Il peut lire son baiser ,
Comme il pourrait lire une phrase qui donnerait lieu à un wagon de mots
Il n'est plus victime de rien
Car il la décrit d'un regard avec ses mots propres
Les teintes assombries dans une parenthèse hallucinée
L'amour fou d'un étrange plaisir
Son vernis bête noire , sa peau chair , ses lèvres bordeaux
Il ne reste plus que le bois de rose
Mais une bouchée double
Ils ont cru
Désirs brûlants
Du tout cuit
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 7 autres membres