Cinq août ,cinq doigts
De châtelaine romantique sortait la nudité d'une déesse grecque
Deux raisons de peindre :pinceau dans la lumière ,ceinture d'or D'un soleil ,l'ombre en forme de longue corde -elle se mettait à sauter Elle faisait la belle en passant par le chapelier ,chapeau lancé pardessus Le mur invisible ,maisons palettes aux couleurs jaune, verte, rouge, Bleue.L'ombre sur ses mains ,on aurait dit des gants ,quand l'ombre glisse lentement on aurait dit qu'elle les enlève ,que ses doigts S'allongent en s'étirant,libère un secret de nuit. Pauvre et triste tiroir où sont rangés mes souvenirs de veufs Reféconder ma mémoire fertile en ouvrant ce tiroir jadis délaissé Je n'avais rien oublié C'est la nuit que les heures se marquent et que sonnent leurs Heures pendant le jour comme si gravées en filigrane puis Libérées le secret qui s'était noué à ce moment Tête de station je monte dans ton taxi Taxi jaune ,ton ciré par ce jour de pluie Taxi noir, par ce ciel de deuil Du pont de mon bras parlequel tu passes le tien L'onde de nos regards frémit Souffle de vent qui va balayer ces vilains nuages devient Souffle de Jasmin Nous prendre par les mains Mains hélices vers les cieux dégagés Après être passé devant Elysée Tu deviens Lysa , el occupée à voler ,ée dans les nuées Après la curiosité des monuments de Paris Nous devenons objet de curio"city" CéCité en agitant leurs feuilles blanches comme des mouchoirs Cane , grand crayon blanc , pointe noire pupille après avoir retiré La capuchon ,casque du pilote Un air France |
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