Comme un dimanche
Dans un blanc endimanché , composé sur une page abandonnée
C on va laissant : pas de c renversé , une parenthèse ouverte
C il n'y avait que quelque chose à faire ,un battement de paupières
Le commencement d'un envol planant et hypnotique
En tête "des ventes" , le calme plat , le temps d'une lecture
Remonter le temps pour retrouver un moment clef
Un endroit où l'on ne peut plus se tromper C'est tout droit
Un lieu où l'on se retrouve forcément comme si le reste nous avait échappé
Aimer les manières : complément de manière elle retrouve son corps male adroit
Pour la positionner et la savourer debout , assise , couchée
Après s'être bien enf/oui , le drapkar surgit des brumes
Un texte jamais osca/risée s'en va dans une rigole
Parce qu'elle dit non maintenant en partant
Une sculpture de sons qui laisse des pieds de sable à la recherche d'une suite
Tel le bruit du train au loin
Un train fou qui ne voudrait aucun passager
Ce train qu'un coup de crayon peut arrêter dans le flou textuel
Pour exprimer sa vitesse
Et le petit rat de bibliothèque d'un livre poétique
La danse des pages qu'il tourne
Comme pour rechercher une nouvelle que l'on attend pas
Pas ces mots attendus de vacances ,d'anniversaire , de nouvel an ...
Sur ce qu'elle n'avait rien demandé
Quand elle alu elle voulait tout savoir
Dehors le festival de couleur comme la fête au Indes
Et sur ce comptoir des Indes , la dorure des verres plein de bière
A l'écume océan Indien
Qui fait que la nuit n'est jamais une éternité
La roue d'un gouvernail au rayon qu'un capitaine fait tourner
Et la révolution des têtes qui swinguent
La solitude qui cherche une absence
S'effacer derrière le message pour une lisibilité
Comme un dimanche mais qui est un autre jour car c'est
Un roman
Et la révolution des t^tes
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