commentaire d'une poésie
Dans mon écriture
Je suis comme métis dans l'ombre
Peut-être pour me rendre plus séduisant
Moi qui ne vois que ton mirage
Dans le réel tu n'y es point
Je circonscris tes lèvres enflammées
Pour les éteindre d'un grand cru de baiser
Ton prénom est sûrement Sylvie
S'il vit ma raison de préciser quelques points
Ne plus pouvoir mettre fin
Toujours rallonger d'une prolongation
Un désir est une raison
toujours justifier par un pourquoi
A ta lecture yeux grands ouverts comme le soleil
Mis clos à l'approche du crépuscule
Le caprice d'une liberté
De par mes nombreux textes
Art d'écrire usé comme un fond de culotte
Glisse sur la page toboggan
Tel un glissant dans un autre monde
Si je me réfère à ce feuilleton américain sliders
Daim jour toutes les fois
Court après la biche
Toujours dans l'infini
Seul la mort est finie
Finira bien par trouver non le reflet de ma pensée
Mais un être de chair
Se réussir
Ton nez comme une proue
Tes oreilles pavillons arborés
Ton front aux vagues de rides
Et sa frange d'écume
Ecrire c'est une deuxième fois après le regard
Faire du rappel , co/giter
Créer l'appareillage d'un décor pour que tu apparaisses en vrai
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