confiner mais pas oublier
j'ai vu le loup ,la mort , les horreurs , les frayeurs
je n'ai pas peur de tes craintes , de tes doutes
toutes les cibles de points sur ma robe
elle glisse
que ma peau lisse douce amène
tes doigts arpèges sur le violon de ma poitrine
les yeux ouverts je vois le toit du monde
alors je prie pour toi les yeux fermés
le murmure de l'eau un chuchotement de prière
l'avant de mon corps proue
l'écume s'y est projetée
sur le bois nu de ma peau
sans une ride
à b/ride abattue
galope jusqu'à toi
allongée sur une carte
allongée sur un album photo
ai faire venir les images
j'ai traversé les continents places lieux
mon corps à demi
les jambes se reposent
soit l'autre moitié
coure saute vole rejoins moi
Les traits horizontaux sur lesquels je t'écris
attendent la fin de mon texte pour s'offrir des traits
verticaux
quand la géométrie se met à aimer
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