constat aimable
La présence de la lumière le fait tenir,l' absence de lumière son flagrant de lit
Ses mots décousus ont perdu le fil pour les recoudre en phrases
Le chemin s'est perdu
Il a paumé son chemain
Il ne lui reste plus que les doigts pour la direction , la marche à suivre
Le bruit lui court jamais blanc ,noir de mots basse altitude qui radotent ,de chansons à la radio qui se répètent
Bruit sur bruit comme ton sur ton
Le contage n'est plus que brouhaha
Qui vieillit le monde ou lui ?
Juste des jours ordinaires pourtant éternels :le temps d'une vie.
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