dans l'amphore une poésie à boire métaphore
Pendulaire , tu te donnes plus de temps
Pour ne voir que les belles choses
Tu ne veux pas trop calculer tout cela
Periferry sur le balancier d'une marée
Le carillon de la lune sonne Jacques quartier
Le décalage horaire est comme ton grand et quart
Sa grande aiguille s'arrête à la demie
Va jusqu'au fond de ton lit
Nos chevroeils , nos ventres blancs l'un sur l'autre
L'amour fauve d'un dos
Sur le tard ,moins vingt , moins le quart , moins dix , moins cinq
Tout cela sous l'air tendre du soir
A l'heure pile , ils sont remontés à la surface
Ils n'ont pas pour autant chiffonné le passé
Mais bien au contraire tout prévu pour le repasser
Tout comme dans les livres qu'il convient de se promener
Même froissés de lectures .
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