De par l'embrasure
Embrazur d'une porte pour recevoir un message
Le ciel t'envoie ce nuage comme une lettre
A la lecture des larmes sortent comme des sirènes
Pour que tu viennes t'échouer
Tes deux lèvres sont deux chevaux qui tirent un baiser
Une cigarette longue vue ,au bout l'incandescence
Puis un phoenix qui renait des cendres
Tu roules tes yeux dans une feuille blanche parchemin
Tes yeux yeux marron blond tabac
Tu te laisses appeler par ton so/briquet
Ta bouche fait des ronds de volutes
Comme des baisers envoyés
Une volute cyclope de ta clope
Je t'allume du regard
Dans l'oeil de la volute le temps de te regarder avant que tout s'effiloche
Des ronds qui troublent l'opacité comme ceux faits dans l'eau
Qui trouble cette dernière
Une invitation éphémère à voir
Faire des ronds qui nous séparent
Sans ronds: qui voit qui est vu ?
Des volutes provenant d'une cigarette en papier
Une page en dentelle
Téléfaunes sonnent dans la lumière artificielle
Qui reflète ses allos dans la nuit
Ne pas dérober ton regard pour ne pas partir enfumé
Fhumer l'odeur du tabac
En volutes tu fais un tabac
Petite gitane tu fais de la plongée
De ton tuba je vois les bulles de volutes
De toi je n'ai que ces quelques vers fumés
Dés que je touche tes auréoles
Tu disparais
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