Derrière le voile de tes cheveux
Comme le rideau qui se soulève d'une fenêtre ouverte
Elle s'invite en dessinant une forme
Un courant d'air me traverse
Comme une rivière au milieu d'une terre sèche et craquelante
Qui a attendu si longtemps une gorgée
Hé berger dans ta peau de mouton
Toi qui me belle
Les herbes folles tambourinent au vent
Balayent la terre de ses impuretés
Toujours couvertes sous le ciel ,son casque protecteur
Pour une virée en moto
Comme un cheval à dompter
Les pinceaux lumineux cherchent à tracer une couleur
Mais elle ne reste jamais
Comme si l'environnement invisible était vêtu d'un produit anti tag
Les étoiles percent le ciel
Comme les premiers dents d'un jeune enfant
Tu es le rêve
Mais tu as tellement à accomplir
Que je reste désu ,sans avoir vraiment
Mais qu'ai- je à savoir que tu ne shais pas
Que j'aime et que tu ne veux pas savoir
Neveux ou nièce ,l'oncle ou l'attente
Un temps périt
La montée des os
L'os-suaire et ses cheveux immortels qui continuent à pousser
Sur ta photo ton visage tourné vers mon regard ,
Deux autres chevelures de femmes assises ,
l'une regardant vers l'est , l'autre vers l'ouest
Il manque une quatrième personne qui regarderait vers le nord
Mais elle est debout et marche droit devant
Elle porte dans ses mains comme une offrande
Au nord l'arbre écrit son propre roman ,
Témoin silencieux de ce qui l'entoure
Une fois abattu ,il sera à lire tout de suite
Ton sourire montre ses dents à croquer
Pendant que je con-somme
Tandis que les moutons comptent mon knock out .
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