dire jamais assez
Au delà de la baie vitrée de tes yeux
Tu as une vue sur la mer , la montagne , que sais -je
Du salon de ton corps
Tu as des loupiotes en guise de vue
Parce que la grande lumière c'est à la personne que tu regardes
De la faire
Parce qu'un paysage t'éblouit d'émotions
Il ne faudrait pas que tu portes trop en toi
De peur d'aveugler
Aussi est -il besoin de porter un nuancier
Même ton bleu est délavé par tes pleurs
Mais dans un bleu limpide tu aimes à te désaltérer
Certains s'étonneront du altérer dans ce mot
Comme s'il fallait perdre la modification , la transformation
Ne parle t-on pas de mouiller chez une femme ?
Comme si sa terre était aride
Elle se transforme en plaisir
Tu t'es affichée
Comme une image sur un panneau publicitaire
Un lieu qui force à la pause
En passant devant toi
On rase les murs
Démolir , à ras de terre pour marcher sur ta route
Faire vivre des pages
Quand tu places ton corps dans l'espace
Mouvements qui en disent long
Sur celle qui bouge
J'entend une voix
Demain ne paraît pas si loin
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