fiction d'histoire
La pupille encrier de sa peau clerc
Sourcils rehaussés comme des rainures pour un crayon
Mèche rebelle qui ne veut pas s'étendre
Visage pétillant comme une coupe de champagne
Elle s'excusait de nous prendre du temps à lire son texte
Comment l'avais je rencontrée ?
Nos deux mines de crayon s'étaient jointes sur une table d'écolier
Puis plus tard deux coeurs se retrouvent sur un chemin invisible
Parce qu'un coeur bat la chamade comme un tambour
D'un pays lointain , un appel de la forêt , d'un village
Au premier abord je n'avais vu que des cordes qui ont lâché leurs amarres
Tu avais perdu tes nattes ,partie sans voix , rien qu'une volée de cheveux au vent
Mais un coeur en réserve donne des cordes au bois pour le faire parler ,bois porte paroles
Je t'attendais depuis hier ,depuis un passé donc
Mais soli/der , dernier seul celui qui rassemble
Nous nous sommes retrouvés
Tu n'étais qu'un trait vertical sans point
Un i sans tête
Maintenant le point a repris le ponton
Accroché comme un bilboquet
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