fin d'automne
Cetautomne ,le théâtre privé sent le vieux
Privé de ses rideaux de feuilles
L’homme aussi fermera les siens
Un temps sans feuilles serait synonyme d’évasion
Un temps pour respirer à plein nez
Plus un nez porté sur les feuilles
Mais respirer l’odeur des années
Ces constructions gigognes
Une prononciation moins caillouteuse tant qu’elle est recouverte par le lit de feuilles
Dresser le bilan de ses rêves d’antan
Seule la modernité de ses propos
Rapprocher puis reprocher , le a suit le e dans l’ordre des voyelles
Un vagabondage cérébral , le bruit des vagues berceuses
Une promesse de l’ EST
Car la fin de l’automne c’est tout ce que l’on A
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