Fin de l'été
Arbres d'automne les branches levées vers le ciel
Blament le soleil d'avoir brûlé leurs feuilles Le bruit des vagues qui effraie et empêche tout départ marin Tourbillons de feuillesqu'un vent attise en volutes Fin d'une saison révolue Se mettre à l'abri dans la chaleur des maisons Rideaux tirés comme si les sirènes avaient retenties La bise d'hiver un prétexte pour déclarer sa flamme Qu'il "faille" dans ce ce beau temps si parfait A l'approche de Noël guIrlande d'un bel faste de l'été Une pyramide un V renversé CléoPâtre qui ramène au ber/caille Tas de feuilles brunes consumées vestige d'un été chaud sous l'étoile jaune Esprit a quitté les lieux Branches levées qui n'avaient plus le sés/âme pour ouvrir les cieux Arbres qui n'ont plus que leur grandeur L'être humain se fait plus petit à l'intérieur Souvenirs de l'insouciance d'une saison Impossibilité d'oublier ,d'entrevoir même un soupçon d'autre Saison comme à ceux qui n'ont pas voulu entendre le déluge De pluie Atre s'active de bûches comme la machinerie d'un navire ou d'une Locomotive Avancer plus vite plus loin Bonheur retrouvé ne sera jamais plus le même Temps ansien pour celui d'un autre ailleurs |
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