tisseur de poèmes

Elle aurait pu attendre dimanche , J'avais tout mon temps alors. C'est toujours quand les choses arrivent que je me sens pressé. Avant je me lamente .J'aurais jamais le temps. Quand cela arrive , je n'ai rien fait. Les soldats ne font pas le même combat. L'un pense à sa famille , l''autre à son lendemain:maintenir envie /en vie . Deux soldats ennemis à - coup .Aller à l'encontre de quelque chose qui  provoque la résistance  :insurrection, rébellion. Il a sa foi  mais elle l'encombre d'un doute ,elle fait partie de lui pourtant mais il serait tellement mieux athée ,purifié d'une spiritualité pour une matérialité , de l'humain , de chair et d'os .Dans une forêt d'ombres, tout ce qui est tombé , l'humus  et le ton heurté d'un incendie de lumière quand le jour se lève .Dans les fusions et les heurts  de ses pâtes colorées , le peintre s'exprime .

Quand la bataille fait rage , il n'y a point de vaccin antirabique pour elle.Les perdant  sortent  des sentiers, battus .Un temps immobile où la guerre est toujours d'actualité .Rallumer les jours anciens , ceux qui éclairent d'une lumière éblouissante  les ruines . Unique vestige à prix dort pour témoigner d'un désastre .Un chaos de choses. Des sentiments heurtés : les hommes sont cachés sous un amas de croix , de tombes ,de choses aussi .Les mots et les choses .Les ruines de son histoire ancienne :un vêtement , un livre , un bijou .C'est une vieille histoire rét-récit .La courbe qui a atteint son point culminant et se ploie, fléchit : faire le dos rond , mettre sur son dos ,porter la charge d'un passé : fardos .P-lié :heurté .

Un personnage qui regarde l'écrivain d'en bas attend que son crayon touche la feuille .Que les figurants et les figurines bougent 

,que les lignes dansent , que la poésie prenne vie .Pourtant le crayon froisse la feuille !

Ne pas pouvoir dépasser la troisième strophe , les trois âges de la vie : enfance , adolescence, adulte .Tout se finit là.je ne vois pas ce que ça pourrait donner : rencontre un obstacle d'ordre humain ,la mort.

Avoir l'heur de l'hiver .