tisseur de poèmes

La main tendue 
Une main crispée ? 
Que des barreaux de doigts 
Au centre un coeur paumé 
Elle n'a pas le bras long 
Le refluxence 
Besoin d'argent pour son bonheur 
B y est ...
Loin du compte 
Aide toi , le ciel t'aidera
Mais dans ces circonstances le ciel est toujours gris ,
Donner un coup de main , un coup de pouce ?
Ironie des mots pour une main quêteuse
Comme ce roi qui transformait tout en or 
Dans une légende
Elle transforme tout en morosité 
Un puits sans fond 
Tari 
Dépense le moindre sou 
Arrange mille chose dans notre vie 
Mais ne voit plus ce qui l'entoure 
Submergée par la nécessité 
Quand elle émergerait les mots diraient 
Femme intéressée 
Dépensiez cela d'elle
Se vendre
Indigne 
Mais sans recours 
Elle va se dépasser 
Dans une folie 
Dans ces cas là la vie a la dent longue
Elle passe du côté sombre
Plaque...de rue ,abandonnée
Pourtant quand tu la regardes 
Elle a l'air d'une femme bien sage

Le blanc du noir d'une écriture : le bonheur
Le chevalier blanc de temps obscurs 
Mais ce glacé de noir désir
La peur du loup blanc "déffrayée "
Le blanc irradié d'une blancheur de sucre et ses mots fourmis
Enjamber deux lignes mangées par les herbes
Une scène enlevée portée par un collectif en blanc
Une clinique dans laquelle on n'entend que le chuchotement du crayon
Au moment où on va me lire , ce texte sera du passé
Avenir remis en cause 
Actes passés avec les valeurs d'aujourd'hui 
Je suis seul à partager le présent de l'écriture
Texte promoteur puis prometteur
Une lecture avenir , une lecture bonne aventure 
Un blanc neige , moisson du ciel
Figurant figurez -vous
Les mots se figuraient là couchés 
Il est bond d'y croire
Un trou qui aspire les gestes pour ne plus être abs/trait