imaginaire sans borne
Les ombres l'expression d'un désir caché
Du bar dans la rue en face de chez elle
Un café au coin de la rue
Comme le dernier angle de port
Avant que les bateaux ne partent
Prendre la barre ,affaler la voile de ses vêtements
Dévoiler le mystère en des points inattendus
Ces points comme la balistique permettront
La soustraction d'un jour
La nuit demander l'addition
De ses lèvres ressemblant à un =
L'intimité ,une intime conviction
A border un lit sur le quai d'un amour
Elle habite l'Orne comme embellir
Elle ne pouvait être un non lieu
Contrairement au réel qui revient toujours à la même place
Mille et une lieux ,tous ses endroits jusqu'aux rêves
Les arêtes de son nez indiquent ses yeux dix heures dix
Ses sourcils comme des dauphins au -dessus de l'eau
Dans les hauts fonds elle a été Ecueuillie
Au petit matin ,était dans les vapes
Comme si elle avait enfilé une brume
Avec elle il faut aller à contre sens
La vue , l'ouïe ,l'odorat ne jouent pas leurs sens premiers
Du bout du fil de l'aiguille
Elle voulait en découdre
Il fallait
La voix du poète et le poids des mots en rime d'équilibre
Idée d'écrire m'a pris dans mes bras de doigts
La nuit MOTVAISE comme si un adjectif
Ne pas être quotidien ,la presse d'un carnet de notes
La journée trot longue ,yeux à cheval sur les mots
Il fallait un en corps comme une solidarité entre pair
Entreprendre :avant de prendre, explorer mentalement
Ne pas prendre sans droit de réponse
Comme acte de contrition d'un chasseur avant de tuer
Dans certains pays
Les mots se sont déplacés
La voile du bateau forme un angle droit avec la sortie du port
Fermé d'un rectangle sans issue
Eux voguaient dans le bocage d'une pleine mer
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 7 autres membres