inventer quelque chose
Dans un désert, l'ombre circulant sur le sable doré , entre les rochers n'est qu'une rivière
Le soleil de plomb change en or alors
Accroupie près d'elle dans ce champ aurifère ,tu cherches quelques pépites , quelques paillettes ,
Une rivière portée à son terme là où l'ombre s'arrête
Une rivière portée car son bruissement est déjà un chant
Une rivière portée à son therme dans la laquelle tu baignes tes me-notes aux doigts orchestrés
Une haine noire sourd des grains jaunes car elle n'est pas eau
Mais néanmoins rafraîchissante
Elle s'éva-port pour le vaisseau du désert
Comme si ton oreille écoutait le disque d'un pianiste qui ne joue rien
Mais parce que c'est le nom d'un grand pianiste sur la pochette
Alors tu entends la Symphonie d'un nouveau monde
A l'écoute -de grande voile ou de foc -du monde
A l'autre bout du m-onde qui se pro-page
Un texte que tu ne trouves dans aucune gare
Une publicité rien qu'avec son écriture qui glisse comme de la soie
Passer la main sur l'étoffe remplit déjà une caverne d'Ali Baba
Coucher sur le papier
Les vers comme une musique de chambre
La robe est un pré-texte ... dérobée
Dans ton déb-ardeur ,tu dors n'eu
Couchée dans un lit avec ta réserve d'eau
Comme la réserve d'une tribu indienne
Tes yeux vitreux n'ont plus de regards
Derrière la vitre d'une douche ,ta peau rouge joue son cachet pour un tour -nage
Tes yeux brouillés par la sueur
Un bateau à la coque sur le plat
La réverbération brhouille blanche la lumière
Les nuages de poussière se forment
Ils redonnent espoir au "tu n'es que poussière "
A la belle étoile , tu regardes la génération de stars
Ton dos appuyé sur le rocher ,le roc star
C'est ici que tout a comme-encé
La peinture parle tout haut
A accordé ses instrument pour que l'oeil écoute
Vu et être vue n'est qu'accessoire
Un rêve civilisé est né
Prendre date avec toi
A l'ombre d'un palmier
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