journées bien chaudes
mes yeux brouillard
La chaleur qui pèse
A quoi bon regarder encore
Moi qui prononçais en mon for intérieur
Un go tic
Comme si une fois là ,je voulais constater que c'était bien venu
Mon fort intérieur voit cette avancée jaune
Appauvrie d'une eau
Qui voudrait me prendre aussi
Mais mon amphore intérieure
S'évapore déjà d'un oriant
Celui qui coulait des fleuves d'agitation ,d'images, de joie profonde
Craquelait les sols de mon ouie
D'un frisson de peau
Les vallons sur lesquels la pierre n'atteindra jamais son sommet
Cette pierre qui com/bâti
N'est plus que com/battu
La fin des artmonies
Le ton uni d'un monde réel
Si l'on doit encore l'appeler ainsi
Une sphère invisible dans laquelle le silence règne en maître
Bien chaude marque l'exit
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