la journée de la femme
Se laisser embobiner
Sur mon selfie j'ai gravé tant d'images secondes
Faute de pouvoir vous retenir dans mes bras
Ce sont mes yeux qui vous prennent par la taille
Vous avez beaucoup d'allures
Tel le cheval astrologique
J'avance au pas ,au trot , au galop
Quand le vent souffle dans vos cheveux
J'aime vos amures
Celles que je regarde sous toutes les coutures
Modèles pour les peintres , sculpteurs et poètes
Elles donnent en/vie
Comme si je n'étais qu'un masque ,une marionnette
Une boussole qui marque le sud
S'orient/er , s'occident/er
Toujours quelque chose à se mettre
Du maquillage au vêtement
Des pieds à la tête
Une femme dans chaque "port "
Elles ne s'effacent jamais
Elles s'ajoutent
Une somme même dans les rêves
L'engoûtment
La mort elle même est féminine
F/âme qu'elle vient chercher quand tu donnes ton dernier soupir
En souvenir de Yung le psychanaliste
Un poète a une part féminine et masculine
Son côté mâle aime la maîtrise sur les éléments
Parce qu'il sait que tout lui échappe
Qu'il est en manque
La plus belle des batisses s'abîme avec le temps
S'écroule à cause de la folie guerrière
En fin de compte ,il reste les sentiments , les émotions
Quand l'homme aura disparu
La beauté des lieux
Alors elle aiment à nous regarder
Pendant que nous sommes encore quelquechose
Parce qu'avec elle il se fond
Il devient raide dingue
Donne tout
Reste en moi
Bien symptomatiques
Donner à celui qui n'a rien
Ne t'en va pas , j'ai tout de toi quand tu me pénètres
L'homme se vide
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