tisseur de poèmes

Ombres dans le couchant 
ll fallait attendre le lendemain , le lever du jour 
Pour revoir le Paradis 
La mer se déchaîne 
Elle rend les îles
Comme si elle se les étaient attachées
Tout n'est plus qu'incontinence 
Parce que n'est plus sous le contrôle du Soleil
Tout s'emporte : vous ne l'emporterez pas au Paradis 
Tout se déplace mais pas échec et mat 
Le poète lui pendant des temps sombres
Comptent les lignes de son texte
Lignes réunies qui seront celle de ta main 
Celle qui prendra la mienne 
Celle que j'embrasserai , je caresserai 
Celle que je mettrai sur mon coeur 
Ces lignes qui me diront notre avenir 
Ces lignes qui disent l'aventure 
Les fins de jour ne sont que péripéties 
La mer démontée 
Les éléments qui se rassemblent de nouveau en plein jour 
Du cheval débridé qui montre sa rage au dent 
C'est notre passion débordante ,effrénée 
D'enfer ,du tonnerre 
N'y aurait -il qu'un Dieu ou une Déesse
Qui ne serait pas infernal ni de jour ni de nuit ?
Oui , ils co_ ordonnent le rythme
Pour s'aimer en Paix