le poète et son féminin
Partvenir :nous savons quand il part mais quand viendra t-il ?
L'un est sûr , l'autre est conditionnel ,futuriste
Un peacemaker et un pacemaker , la prononciation i et ai
Un e qui voyage d'une voyelle à l'autre a(e)i
Des mots qui se jouent entre eux comme des camarades de classes
Le plaisir d'attendre car une réponse aux attentes
Le poète et son réel dans lequel il s'est réalizé
Quand il se promène au milieu de la fhoule
L'alizé le prend sous son aîle Il marche sur l'eau en petite foulée
Son réel et ses hypothèses qui attendent le contrôle de l'expérience
Juste un phénomène observé
Le poète change sa couleur à la lumière du jour
Quand il travaille le rouge est mis
Sitôt la lumière revenue
On ne retiendrait pas grand chose Sa personnalité éloignée
qu'avais je fait pour qu'il en soit ainsi
Quelle force peut ainsi entraîner
Au coeur
Comme les ondes d'une larme d'anciens regrets,
Qui ont trouvé une berge sur laquelle se sécher
Glisser sans obstacles sur ta peau
comme l'auraient fait ces larmes aux bras de brasse
le long d'un courant
Une branche qui flotte qui se dresse comme un arbre
poussent les mains de feuilles
main verte d'un jardin de printemps
Un baiser comme planter une graine en creusant de le terreau
un baiser mouillé pour arroser et laisser germer
l'éclosion de caresses comme de nouveaux bras de branches
profusion d'éclosions comme des baisers qui s'ouvrent
tout cela sur ton corps mais l'est il encore
toi métaphores , le sublime ce que je suis nous formons oxymore
sous l'oeil nombril des origines ,moment de la Création
tu me fais voir d'autres cieux
d'autres rivages
d'autres façons de voir
mon idée de la femme qui se déplie comme un oignon
Des feuilles qui ne font qu'une
me fait pleurer de joie
de pen -crayon en anglais- quand tu n'es pas là
l'épanouissant d'une fleur à coté de ton coeur
quelque chose à pousser à la boutonnière
pour faire une oeillade
tu baisses la tête comme un arrosoir en train d'arroser
ou un bec d'oiseau en train de nourrir son nid de portées
Ta robe blanche comme un manteau de drap aux trois quarts
ton dernier quart nu encore de la veille au soir
comme veille au grain ...qui germe
Ne pas laisser blanc comme lit vide
eu ne :ne faire qu'une ,eu d'un verbe avoir
J'ai inventé une poésie simplement pour avoir le plaisir de l'écrire
Sans que rien ne l'explique
Emmener par la force de l'image
Sur un lieu où l'on ne peut plus se rendre qu'en pensée
Au ciel bleu ,définitif sans aléatoire de nuages
Marquer vos esprits ,lui donner une âme
L'étranger qui te regarde pleurer
Comprend -il tes pleurs ?
Dans son pays cela ne se fait peut-être pas ,cela ne se dit peut -être pas ou est-ce un langage commun ?
Tu es tout simplement ému aux larmes et lui en musique
Ce sont les cordes qui expriment en pleuvant des cordes de notes
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