Les baux d'une poésie
Ceci est mon dernier ivre
Mon dernier vertige
Car tout autour de moi tourne ma tête
Céder à ces tentations en vapeurs qui disparaissent
Ni vues ni connues
Dans cette neige éclatée d'un pas
La bulle de verdure alpage
Texte sur la page
Ce beau à l'intérieur de lui qui ne subit pas les conséquences
Du travail du temps
Toujours d'un désir qui ne s'apprend pas ,surgit ,veut certaines choses et pas d'autres
Mais romantisé et voyeuriste
Ressentir tout le long de ma moelle épinière
Crinière
Dans ses lettres noires givrées ,mon permafrost
Toi la fin de la glaciation ,nouvel ordre établi
Mon ouvrage à travailler
Ce froid qui m'avait donné la chair de poule
De cette chair déplumée
Dans ce printemps je suis les bras de ce jeune homme
Chargé de floraisons de cerisiers
Nos statues fringantes
Cet instrument à vent d'hiver
Aux trous comme un siège d'un canot ,d'une barque
Rameurs
Quand l'esprit et la matière ne font qu'un
Avait laisser tomber la nuit assassine
A la recherche d'un je parmi les langues mortes d'un cimetière
Récupérer un pouvoir ,propre narration
Quand l'obscur rejoignait le limpide
Du temps qu'on existait
Comme dans un coin de la Grande Rue
Avoir pignon sur rue
A ce bail ,le poète locataire a déménagé
Lectrice tu en a fait l'inventaire
Tu es celle nouvelle entrant
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