let my young woman go
L'enfance et ses rêves l'accompagnent
Sublimés à une époque sans guerres
Elle égrène une comptine
Pour les jours de trêves
Celle d'un amour sans fils
Pour qu'ils ne partent pas au combat
Ancrée dans une tragédie
Elle lâcherait volontiers ses amarres
Qulque part dans un ailleurs
Pourvue qu'elle soit libre et en paix
Au fond d'elle se cache une liberté
Farocuche, celle d'un animal sauvage
Une manière de survivre
Mais c'est manquer depudeur
Que de dire qu'on est dans le malheur
Rester en réserve du visible
Mais comment le monde saura-t-il ?
Lui qui abesoin de lieux communs
De mal être pour se reconnaître
Une communauté de souffrances
Mais vivre dans laguerre n'a pas d'homonymes !
Dans sa prison de poésie
Elle voudrait le poète assassiné
Ne plus séduire, attirer l'attention
Sa pensée se déclenche dans la perte
Elle réunit tant de solitudes éparpillées
Elle est dans l'urgence
Une vitesse porteuse
La journée du "patrie-moine"
Les jeunes hommes regardent la patrie
Comme une seconde mère
Elle , cloîtrée dans une pensée,
Se verrait mère que de filles
L'idéal d'un monde sans violence
La guerre reprend sans mères si
Lachute des anges : ailes d'un hélicoptère
La Walhallah des guerriers
Ce qu'ils en font des enfants
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